mercredi 4 juin 2008

Le retour

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Nous quittions donc les Alpes françaises gorgés d'énergie, de soleil et de douleurs musculaires, qui nous ont permis de nous rappeler longtemps... que nous n'avions pas skié pendant deux hivers!
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Nous prenions la direction de la Bretagne, où nos amis les Braud, nous prêtaient leur magnifique maison: l'ancienne école de Hirel,
un hameau de la Baie du Mont-Saint-Michel.
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Les rues bondées de l'enceinte de l'imposante Abbaye prouvent que,
même au mois d'avril, le Mont-Saint-Michel est sans doute l'un des endroits les plus visités de France.
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Une statue parmi tant d'autres pour la ville de St-Malo, un incontournable pour les québécois: Cartier, Cartier, Jacques Cartier, si t'avais voyagé à l'envers de l'hiver!
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-Une charmante maisonette le long du parcours d'interprétation à Lamballe.


-À quelques pas de chez nos amis, nous sommes allés visiter les bouchots et les pêcheries de Vivier-sur-Mer.



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Voici un moment historique de notre aventure: Laurent assis dans une vraie classe, à la place de son ami Thomas.
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-À Hirel même, les garçons sont devenus des passionnés de chars à voile...


qu'ils pratiquaient beau temps, mauvais temps!
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-De Saint-Malo, nous prenions le traversier pour l'Angleterre et Londre où nous nous devions de monter à bord de "The eye of London".


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Nous devions terminer l'aventure par mer. Nous avons donc traversé l'océan de South Hampton en Angleterre à New York à bord du Queen Mary II, un "oceanliner" qui fait surtout la navette entre ces deux destinations.
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-De New York, nous n'étions qu'à une location de voiture de chez nous, d'où nous repartirons... avant longtemps.

jeudi 20 mars 2008

Léochat de la fin ou du début.?

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Avant le retour de Geneviève, nous rencontrons les Brault, une famille française qui fait le tour de la Méditerranée à voile et raconte leur histoire dans Voile Magazine. Laurent et Thomas deviennent vite inséparables.
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Nous aurons, nous aussi, une relâche scolaire en famille et explorons le nord e la Tunisie. Sur le site d'Utique, une des plus anciennes villes de la Méditerrannée occidentale, un guide nous ouvre les portes de la maison millénaire d'une demoiselle... relativement bien conservée.
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Le vieux port de pêche de Bizerte et sa vieille ville.
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Plusieurs cygognes ont choisi de ne pas quitter l'Afrique et s'installent absolument n'importe où.
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À l'orée de la forêt de chêne liège, des futurs bouchons sèchent au soleil.
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Les Aiguilles de Tabarka.
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Le site de Bulla Regia, ville punique, est surtout connu pour ses habitations avec un étage souterrain.
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L'ancien et le nouveau.
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Geneviève s'est foulée la cheville mais rien ne l'empêche de vaquer à ses occupations.
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Lors de notre visite du sud nous rencontrions Lamine. Cet ingénieur tunisien nous a permis de faire d'un problème de voiture, une aventure amusante et enrichissante.
Il nous rend visite sur le bateau avec sa famille.
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Aussitôt, les garçons deviennent de grands amis.
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Mais Léocat n'est plus.
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Trois ans de vie dans une voiture: il faut faire preuve de créativité pour tout amener.
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Après une traversée de Tunis à Gênes, nous nous rendons dans le domaine skiable de Serre Chevalier dans les Alpes du Sud. Nous avions promis aux enfants qu'avant de quitter l'Europe, ils vivraient l'origine du mot "alpin".
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Nous sommes toujours à Briançon et mettrons bientôt le cap à l'ouest à notre rythme... très lent!
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À bientôt

Laurent, Romain, Geneviève, Manon et Robert.

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lundi 4 février 2008

Visite de la Tunisie en famille élargie!

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Nous attendions avec impatience la visite de notre fille, car nous ne l'avions pas vu depuis si longtemps... Nous en profitions également pour visiter l'intérieur de la Tunisie où tout est magnifique. Nous roulions plusieurs heures par jour, vivions la vie d'hôtel et déménagions à chaque jour. Vous ai-je dit que notre fille nous manquait?
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Notre arrêtions d'abord à El Jem pour y voir son spectaculaire amphithéâtre, à peine plus petit que le Colisée de Rome et qui date du IIIème siècle après J.-C.
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On y trouve également un site de fouilles où l'une de villas romaines a été reconstruite et convertie en musée, rempli de mosaïques.
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De là, nous prenions la direction de Tataouine, au coeur des Ksour (Châteaux du désert). Nous dormions dans un de ses Ksar: Douiret. Comment vous expliquer cette expérience unique de dormir et manger dans des pièces aménagées dans le roc. L'ingéniosité des Berbères nous frappait: ces chambres sont étonnamment chaudes l'hiver, et à ce que l'on nous dit, très fraîches l'été. Nous retenons de notre visite la grande gentillesse de nos hôtesses Hasma et Latifa, habitantes du village de Douiret, où l'on parle encore le berbère.
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Nous nous devions un arrêt au Ksar Haddada: c'est le village Mos Espa de la planète Tatooine de la Guerre de Étoiles épisode 1 (La Menace Fantôme). Ä l'avant-plan les princesses Geneviève, Marion et Manon. À l'arriêre-plan les Jedis Romain et Laurent
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Nous quittions le désert de montagnes pour nous rendre à l'oasis de Douz, surnommée la Porte du Désert, puisque là commence les dunes de sable du Grand Erg Oriental Saharien. Nos deux chameliers nous y attendaient pour toute une aventure de 24 heures au coeur du désert. Ils étaient tour à tour, guides, chefs de camp et cuisiniers. Pendant que nous dormions tout habillé dans des sacs de couchage (-15C) sous la tente, eux dormaient dehors...
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La caravane comprenait bien sûr 7 dromadaires mâles... en rut, qui nous faisaient entendre leur appel d'amour... en se sortant une partie du premier estomac par la bouche (très séduisant).
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Au matin, l'un de nos chameliers nous a cuisiné un pain du désert, cuit dans la braise chaude, à même le sable. Rien que d'y penser j'en ai encore l'eau à la bouche!
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Nous traversions ensuite le désert de sel: le grand Chott Jerid pour nous poster à Tozeur. De là nous prenions le "Lézard Rouge" offert au Bey Tunisien (Roi) par la France en 1940! Ce train quitte Metlaoui pour serpenter dans les gorges de Selja.
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La promenade, se termine à l'une des mines de phosphate du pays. Cette matière première est une des richesses de la Tunisie.
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Tout près de Tozeur, dans le Ong El Jemel, on peut marcher parmi les ruines... de l'épisode 4 de la Guerre de Étoiles.
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Pour trouver les chutes de Chebika on suit le son de l'eau.
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L'un des secrets de la richesse de l'oasis est le phosphate arraché à la roche, que l'on peut voir dans l'eau.
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En plus de la chute de Chebika, nous irons à la chute de Tamerza.
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Après avoir traversé l'Atlas, nous visiterons les ruines de Sbeitla. On peut voir de loin les murs, encore debout des temples consacrés à Jupiter, Junon et Minerve.
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La Tunisie est un petit pays avec des grands contrastes et une longue histoire, que nous continuons à visiter, même si ma fille nous a quitté...
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samedi 29 septembre 2007

Baléares

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Le coup de coeur de Manon: l'enceinte fortifiée d'Ibiza-ville. Elle date de la Renaissance et on dit qu'elle est la mieux conservée d'Europe. De l'ancrage (derrière), on peut aller à la ville en quelques minutes.
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Les murs ont la forme d'un heptagone irrégulier et englobent les anciennes murailles: ces îles ont subi les envahisseurs Carthagénois, Romains, Maures, Espagnols et Anglais.
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Mais l'île d'Ibiza est surtout visitée par des amateurs de soleil, aimants faire la fête. Mes fils ont surtout aimé les parties de "velcro ball".
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À Majorque beaucoup des villes sont à plusieurs kilomètres des ports. Pour aller du Puerto à Soller, on prend un train de bois cahoteux: beaucoup plus amusant qu'un bus!
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Le coup de coeur de mes garçons: l'ancrage de la Calobra en face du torrent de Pareis. Une randonnée dans le fond du torrent mène à un village, mais les garçons préfèrent plonger de l'escarpement dans la mer bleue.
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vendredi 21 septembre 2007

Espagne, suite

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Nous nous devions de visiter l'Alhambra de Granada. Son palais Maure et ses jardins attirent des millions de visiteurs chaque année et pour cause!
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Pour des raisons édiventes Romain est captivé par les vestiges... du même nom! Le théâtre de Carthagène est en pleine rénovation au grand déplaisir de mon fils: il préfère les ruines... en RUINES!
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Ce qu'on reproche le plus à l'Espagne: les enfilades d'hôtels et les plages bondées.
Pourtant, entre chacune de ces villes d'été, des kilomètres de côtes désertiques.
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Rafraîchis-moi disaient-ils à Formentera, notre premier contact avec les Baléares.
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Notre café préféré à Ibizi-ville: "Tomate" au pied de la citadelle.
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