dimanche 1 juillet 2007

Leochat Jean-Maurice : mon ami, notre ange-gardien

Je dois souligner la contribution de notre grand ami Jean-Maurice Dupuis dans nos aventures des deux dernières années. Premièrement, Jean-Maurice a une connaissance importante des Au centrebateaux: comment les construire et aussi surtout comment les naviguer. On peut presque dire que Jean-Maurice est tombé dedans quand il était petit. Ses parents ont toujours demeuré sur le bord du fleuve et Jean-Maurice me raconte que c’est le fleuve qui a mené sa famille à vivre là. En fait, la maison de ses parents était en parti construite à partir d’un ancien navire. Et c’est depuis là que la passion pour la mer brûle en lui. Il est difficile d’apprécier de l’extérieur le niveau de compétence de cet homme, car pour le comprendre, il faut être à ses côtés, avec une drisse, le gouvernail dans les mains et des vagues de 20 pieds. Il ne faut pas oublier la cigarette dans la bouche qui brûle rapidement dans 40 noeuds de vent.


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Il y a deux ans, Jean-Maurice a participé à la traversée de Léocat de l’Afrique du Sud à Trinidad. 5500 miles nautique de traversée sur une période de 8 semaines. Au début du projet, je ne connaissais pas les compétences de Jean-Maurice mais très rapidement, il est devenu mon homme de confiance. À ce point, Jean-Maurice a décidé de prendre notre projet en main sans vraiment qu’on le sache. Par la suite, nous avons eu la chance de se revoir plusieurs fois. Il est venu nous voir au Chesapeake en 2006 quand le bateau était sorti de l’eau pour des travaux. Et encore une fois, cette été pour la traversée en Europe du Léocat. Nous avons eu un temps fantastique ensemble et encore une fois je ressors grandi de cette expérience auprès de Jean-Maurice. Pour lui, un petit sourire vient a sa bouche quand il voit le Léocat en parfait état en Europe et la famille finalement réunit.

Alors, ce blog est dédié à notre grand ami Jean-Maurice, ses passions, son savoir faire, sa famille qu’il aime beaucoup et d’où viennent ses grandes valeurs, comme chez peu d’homme.

Merci Jean-Maurice….

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